Salut

Je sens que nous allons avoir bientôt un "Gonax"... 

L'attrait irrésistible du G...

Méfiez-vous manants, le G a un poing

Un poing-virgule ?

Non... un point G, bien sûr.

Mais c'est bien sûr !

m'étonne que tu aies raté ça
t'es fatigué mon pitchounet ?

Ouais. Je me retire dans mes pantoufles.

avec une ça suffira pour te faire un Napoléon sans bras ^^

Spoiler:

grumpythedwarf a écrit:Ouais. Je me retire dans mes pantoufles.

ton nez rentre ?

Bonjour! Mon ordi a un problème et ne s'allume plus donc je viendrais assez rarement ici...

L'hikari est comme l'alcali : très volatil  

Hikari a écrit:Bonjour! Mon ordi a un problème et ne s'allume plus donc je viendrais assez rarement ici...

File-lui un bon coup de pied dans les couilles !

Il n'en a pas  

Tu t'es fait avoir.Un ordi sans couille, ça déconne toujours... pas comme les mecs où il semblerait que leurs attributs puissent leur faire faire bien des conneries.

gingembre a écrit:Tu t'es fait avoir.Un ordi sans couille, ça déconne toujours... pas comme les mecs où il semblerait que leurs attributs puissent leur faire faire bien des conneries.

Comme disait l'autre, dans Candide : ma ché sciagura d'essere senza coglione !

Et il disait ça en italien ?

Faut traduire pour le G. hein !

grumpythedwarf a écrit:Et il disait ça en italien ?

Faut traduire pour le G. hein !

En italien dans le texte, avec des points après le c de coglione, qu'on pourrait aussi remplacer par "cazzo" : c'est le passage où le navire qui transporte la princesse italienne est abordée par des pirates. Parmi eux, un eunuque, d'où sa réflexion, ma foi fort pertinente. Le pôvre !

grumpythedwarf a écrit:Faut traduire pour le G. hein !

Tu ignores donc que je suis mi-ardennais, mi-lanais, disgraziato ?

Il est clair que Grumpy ne te rend pas justice. Mais patience, un jour viendra où la gloire sonnera à ta porte.

Spoiler:

Ils n'osent plus, tu as oublié ?

a où la gloire sonnera à ta porte.


POUAAARF !

Guardian a écrit:Ils n'osent plus, tu as oublié ?

Ouf, je suis soulagé, mais je me disais que certains récidivent.
Tiens, j'ai eu une discussion avec un TJ. Il a dix-neuf ans, il est tout empêtré de la théologie dont on lui rebat la cervelle dans sa congrégation. De plus, il est homo, et c'est ça qui le gêne, c'est l'abomination des abominations, Satan, l'horreur sans nom, il se supporte à peine. Je le prie de venir dans l'appartement, je lui présente Jo, il commence par me dire : "tu vis avec un garçon, tu vis donc dans le péché". Je passe outre, il valait mieux, et Jo fait tous ses efforts pour ne pas éclater de rire. Puis il s'assied et je lui dis positivement qu'être homo n'est pas une déviation, encore moins une maladie, mais un fait avec lequel il va falloir s'arranger toute une vie. Réponse : "Jésus m'aidera à devenir hétéro". Je sors ma Bible, évangile selon St-Jean (l'évangile, hein, pas la gare de Bordeaux), et je lis, chapitre 13, verset 23 : Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus". Et pour étayer, je lui présente la version originelle en grec ancien, que voici pour ceux qui entendent le grec : Ἦν δὲ ἀνακείμενος εἷς  τῶν μαθητῶν αὐτοῦ ἐν τῷ κόλπῳ τοῦ Ἰησοῦ, ὃν ἠγάπα ὁ Ἰησοῦς: Et de lui confirmer que le mot "mathos" (ben oui, c'est presque le matos !) signifie sentiment passionné, en lui faisant cette réflexion discursive que si Jésus était censé aimer tous ses disciples, pourquoi le rédacteur nous précise-t-il "le disciple que Jésus aimait" ? Il faut donc que Jésus ait eu ses préférences, comme tout le monde, et que la nature de l'amour qu'il vouait à Jean ait dépassé le stade purement fraternel. De là, continuai-je, l'inanité à se reprocher d'avoir des élans affectifs pour les gens de même sexe.
J'ignore si je l'ai convaincu, mais ce qui est sûr, c'est qu'il a été fortement troublé.
La suite de l'aventure quand je le reverrai.

Espérons qu'il verra la lumière