BON A SAVOIR ...

Cela vous est-il déjà arrivé de rentrer de voyage et de constater que toutes vos horloges étaient déréglées?
Il ne faut pas longtemps pour réaliser que tout cela est dû à une coupure de courant. Et il est très difficile de savoir combien de temps cette panne a duré et si elle a pu endommager les produits qui se trouvaient dans votre congélateur. Ils ont très bien pu être décongelés, être périmés, mais avoir gelés à nouveau.
Mais à partir de maintenant, rappelez-vous d’une chose que vous pouvez utiliser chaque fois que vous quittez votre domicile.
Cela peut sembler étrange, mais tout ce dont vous avez besoin c’est d’une tasse, d’une pièce de monnaie, et d’eau!
« Mettez une tasse d’eau dans le congélateur. Attendez une heure pour que l’eau gèle, puis ajoutez une pièce de monnaie sur le dessus avant de laisser le tout dans le congélateur.
De cette façon, quand vous rentrez chez vous, vous pouvez savoir si votre nourriture a mal tourné, puis gelé à nouveau, ou si elle est restée congelée tout le temps où vous étiez parti.
Si la pièce est tombée au fond de la tasse, cela signifie que tous les aliments ont eu le temps de décongeler, et que vous devez les jeter. Mais si la pièce est toujours sur le dessus, c’est que tout va bien.
C’est aussi une bonne idée de laisser cette tasse systématiquement dans le congélateur comme cela, si l’électricité s’arrête, vous serez toujours sûr de pouvoir consommer ou non vos aliments en toute sécurité! »
Simple, efficace et pas cher! Un autre avantage: cette technique est favorable à l’environnement car elle vous permet de ne pas jeter inutilement de la nourriture tout à fait consommable.

ET si on met Tonax dans le congélo avec une pièce sur la tête ?

Il en ressort illico tel un diable jaillissant de sa boîte.

Une nouvelle escroquerie informatique vient de voir le jour par le biais de clés USB.
La méthode est simple, une clé USB est déposée dans votre boîte aux lettres et votre curiosité vous pousse à la brancher sur votre ordinateur pour voir son contenu.
A ce moment, cette clé installe un programme à votre insu donnant accès à distance à toutes vos informations confidentielles.
Ainsi, l'individu qui a déposé la clé dans votre boîte aux lettres, se trouve avoir un accès total à votre PC !
Par conséquent, si vous trouvez dans votre boîte aux lettres une clé USB, ne tentez pas de découvrir son contenu, mais détruisez-la immédiatement.
Cette escroquerie a vu le jour en Australie et est arrivée en France et en Belgique depuis quelques jours.

Je transfère à toutes fins utiles.

Et si c'est la clé d'une ceinture de chasteté, on fait quoi ?

grumpythedwarf a écrit:Et si c'est la clé d'une ceinture de chasteté, on fait quoi ?

Tu l'essaies sur toutes tes admiratrices...

Mais si ça fonctionne sur toutes, tu imagines l'épuisement du nain !

Je suis déjà épuisé...

D'attendre

Saint Ture, priez pour lui

Une poudre magique (ou presque !) dont, personnellement, je me sers très souvent :

http://www.consoglobe.com/bicarbonate-soude-poudre-faire-ecolo-2975-cg

Un vieux truc bien utile !

"La chambre du malade hospitalisé est un domicile privé: l'arrêt Chantal Nobel

L’affaire "Chantal Nobel" a donné lieu, suite à sa plainte, à la condamnation des paparazzi qui s'étaient introduits dans sa chambre contre sa volonté. La
« jurisprudence Chantal Nobel », découlant de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 17 mars 1986, élargit la notion de respect du domicile. Il est en effet admis dans cet arrêt que la chambre d’hôpital est considérée comme le domicile privé du patient pendant le temps où il y réside."

Même les médecins et le personnel soignant devraient frapper avant d'entrer dans une chambre et attendre qu'on les y autorise... ce qui est loin d'être toujours le cas.

Loulou m'a rapporté le cas d'un de ses amis qui a exigé que tout le staff médical (une dizaine de personnes) venu en troupeau pour l'examiner, sorte de sa chambre. Il a obtenu gain de cause mais s'est forgé une belle réputation d'emmerdeur. En tous cas, pendant les 10 jours de son hospitalisation, il n'a plus jamais été emmerdé avec ça !

Chantal Nobel avait refusé qu'on franchisse le porssche de sa chambre, disent-elles; ça charrie

Floréane a écrit:"La chambre du malade hospitalisé est un domicile privé: l'arrêt Chantal Nobel

L’affaire "Chantal Nobel" a donné lieu, suite à sa plainte, à la condamnation des paparazzi qui s'étaient introduits dans sa chambre contre sa volonté. La
« jurisprudence Chantal Nobel », découlant de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 17 mars 1986, élargit la notion de respect du domicile. Il est en effet admis dans cet arrêt que la chambre d’hôpital est considérée comme le domicile privé du patient pendant le temps où il y réside."

Même les médecins et le personnel soignant devraient frapper avant d'entrer dans une chambre et attendre qu'on les y autorise... ce qui est loin d'être toujours le cas.

Loulou m'a rapporté le cas d'un de ses amis qui a exigé que tout le staff médical (une dizaine de personnes) venu en troupeau pour l'examiner, sorte de sa chambre. Il a obtenu gain de cause mais s'est forgé une belle réputation d'emmerdeur. En tous cas, pendant les 10 jours de son hospitalisation, il n'a plus jamais été emmerdé avec ça !

Je le comprends fort bien. Il est extrêmement désagréable de subir ce genre de voyeurisme quand tu te retrouves en position de faiblesse sur un lit d'hôpital.

Trop de gens ignorent encore qu'ils peuvent toujours dire NON. Et parmi ceux qui le savent, beaucoup n'osent pas.

Pour beaucoup, les sacro saints médecins les impressionnent tellement qu'ils n'osent en aucun cas les contredire en quoi que ce soit.

Pourtant, un médecin n'est qu'un artisan comme un autre, avec des compétences propres à sa fonction, comme un plombier ou un ingénieur.

Le pire, quand on est dans une chambre à deux lits, c'est le sans gène des visiteurs.

Ca, les soins, les allées et venues du personnel, la bouffe souvent assez infâme...

Oui.Et le manque de la plus élémentaire intimité.

Le comportement du personnel dépend beaucoup du chef de service. Et c'est aussi au patient de se faire respecter.

Pas toujours évident. Cela dépend aussi de l'état dans lequel on se trouve. Aux amis et à la famille d'en faire parfois la remarque.

A partir de demain...

ICI

Evidemment, si tu es dans le coltar, ce n'est pas facile.

Je me rappelle la colère de ma mère, qui a littéralement collé le toubib au mur du couloir de l'hôpital parce qu'il avait eu un geste brutal sur mon père hospitalisé (elle avait refusé de sortir). Sur le moment elle a réconforté le patient, moi j'attendais dehors. Et tout à coup elle est sortie comme une furie, elle l'a attrapé par sa blouse (il faisait ses visites) et j'ai cru qu'elle allait l'écrabouiller : il a je crois tout entendu, littéralement pétrifié, tout chef de service qu'il fût. A dater de ce jour, je peux te dire que tout s'est passé comme sur des roulettes.