La citation du jour

Bien que sérieuse ( j'ai obtenu ma réponse ), ta réponse m'a fait rire, Pimbi !

Ecmèle voici les photos de nos routes
Prises d'avion par nuit de brouillard
Dans le vieux catalogues des doutes
Aux pages moisies par le hasard ...

J'adore, HF Thiefaine.

Moi ? Rho... Je n'ai fait que prodiguer une explication musicale... Enfin !

Pimbi a écrit:C'est Tonax qui a commencé !!!

Oh oh oh !

Moi qui citais le '' des preuves de mon passage, non mais des traces '' de René Char en me disant que c'est souvent ce que je cherche, les traces, pas les preuves dont je n'ai pas besoin, dans la contemplation de maisons anciennes '' seules les traces font rêver etc '' j'obtiens un commentaire de ta part sur les traces dragées Fuca des pouët pouët !

Non, j'ai pas commencé, j'ai enchaîné, profité de l'occasion !

Bande de gamins !

C'est que parfois je revis l'époque caca boudin, c'est une manifestation de l'âge où je réinventais sur les murs des chiottes l'art de Lascaux au titre de l'école scatologique.

l'avantage d'un pet sur une note de musique, c'est qu'on peut le sentir en même temps que l'entendre

Pas toujours hélas, ce serait trop beau, pour les siens en tout cas car les pets c'est comme les gosses, on ne supporte que les siens !  

Pimbi a écrit:C'est que parfois je revis l'époque caca boudin, c'est une manifestation de l'âge où je réinventais sur les murs des chiottes l'art de Lascaux au titre de l'école scatologique.

Les fameuses grottes de Lescun ( et non plus Lascaut ), dites aussi des hauts plateaux, les scientifiques avaient découverts dans le matériau utilisé des résidus de crème pâtissière et de raisins secs !

Ah oui, c'est fort possible, attendu que des générations de Pimbi ont peuplé ces lieux hauts en couleur et irrémédiablement voués aux plaisirs gustatifs...
Bon, mieux vaut être né dans ces parages que dans d'obscures provinces sans attrait gastronomique, chez les Anglais, chez les Allemands et autre peuples barbares.

J'adore la pétologie !
Continuez, je vous prie.

Quand j'étais au collège, lorsque quelqu'un marmonnait quelque chose d'incompréhensible, l'usage était de lui dire soit '' articule quand tu pètes '' soit '' artipète quand tu cules '', qu'est-ce que c'était vulgaire, surtout ( et seulement d'ailleurs ) la dernière !

A toi la parole Grumpy, exprime-toi ( ah ah ) !

et "parle à mon cul, ma tête est malade"

Dire que je ne suis pratiquement pas affecté par ce dérangement, ni Jérôme : la bonne nourriture, sans doute.

Et un ramonage régulier aussi peut-être ?

Bien péter est un art.
Je m'entraîne chaque jour (avec succès) !

Joli talent de société... 

Les femmes, elles, ne pètent pas. C'est un fait reconnu.

Floréane a écrit:Et un ramonage régulier aussi peut-être ?

Ah oui, tu peux sortir, vilaine fille !!!

==> gingembre

Ah bon ?

http://www.planet.fr/insolite-en-pleine-operation-un-incendie-se-declenche-en-raison-dun-pet-de-la-patiente.1224149.1470.html

gingembre a écrit:Les femmes, elles, ne pètent pas. C'est un fait reconnu.

J'en ai pourtant connu une qui s'adonnait sans vergogne à cette passion  : c'était une harpie d'une telle laideur qu'elle confinait au chef-d'œuvre : boudinée, crasseuse, elle vous proutait pendant les repas comme la dernière des porchères. Elle était pourtant mariée à un lieutenant-colonel de l'armée. J'ai du reste attrapé l'occasion de ce couple tératologique pour trousser les portraits de deux personnages en tous points ressemblants dans mon roman. On ne me croyait pas, on se récriait : ce n'est pas possible, disait-on, que de tels magots existent !. Et bien, je jure sur tout ce que j'ai de plus précieux ici-bas que je n'ai pas exagéré d'une épithète, que ce que j'ai écrit est en tous points ressemblant et que tels qu'ils sont peints l'un et l'autre, car le bonhomme valait son pesant de vertus, ils ne s'écartent pas le moins du monde du modèle.
J'ai même utilisé un anagramme de leur nom de famille...

Incroyable, elle pétait publiquement en mangeant !    

Tu as assisté au phénomène ?

gingembre a écrit:Les femmes, elles, ne pètent pas. C'est un fait reconnu.

Et pire, rares sont celles que cela fait rire, même dix secondes.

Dis moi, qu'y a t'il de drôle à laisser échapper des gaz ?
Mon petit nez délicat s'accommode mal des effluves nauséabondes que cela génère.

Le côté inattendu est assez drôle, d'ailleurs cela fait rire beaucoup de monde, même des femmes :

http://societe.aufeminin.com/forum/p-ou-c-les-femmes-qui-petent-au-lit-fd3162160-p2

Le tout premier message en haut de page, écrit par une femme, l'atteste.

Tonax a écrit:Incroyable, elle pétait publiquement en mangeant !    

Tu as assisté au phénomène ?

J'ai assisté, ouais, c'était l'époque où j'enseignais la bureautique ! la bonne dame nous faisait son récital au déjeuner de midi et plongeait tout le monde dans l'embarras. Sauf moi, parce qu'avec mon caractère chaud bouillant je n'ai pas manqué de lui remontrer que si elle ne savait pas se tenir, il valait mieux qu'elle aille manger dehors, où elle voulait, mais pas avec ses collègues. D'où une animosité relayée par son fieffé pédant de mari, parfait greluchon perfectionné dans l'art de parler sans s'entendre et de mépriser souverainement autrui du haut de ses cinq galons alternatifs or et argent. Je crois savoir qu'il est pour beaucoup dans mon licenciement : monsieur fréquentait les huiles du coin et avait un neveu à lui à placer sur l'échiquier. Pour cela, il fallait que je dégage... Cela tombait bien, je lui faisais de l'ombre. Il passait son temps à carrer son cul dans un fauteuil de je ne sais plus quelle caserne, à jouer au Solitaire et à désespérer ses supérieurs qui s'arrangeaient pour qu'il soit absent quand il y avait une visite officielle d'un général ou d'un ministre. Mais il me jalousait jusqu'à la haine, d'abord parce que les élèves me plébiscitaient, ensuite à cause de quelques talents que je cultivais et dont il était dépourvu. De plus, il détestait en moi le bourreau de travail que je n'ai jamais cessé d'être et grâce auquel je parvenais à de bons résultats dans les domaines où je voulais exceller, mon métier, d'abord, mais aussi l'art de parler en public en travaillant l'éloquence, et cerise sur le gâteau, la musique. Un petit godelureau à peine pubère qui déchiffre des symphonies de Mahler, c'en était trop pour lui. Un mois après l'altercation publique avec sa grosse dinde, j'étais remercié...

Comme quoi, les tonneaux vides font toujours autant de bruit !